Cris du corps

En décembre 2000, Franck Spengler reçoit par e-mail des textes d'une jeune femme qui crie ses pulsions et ses fantasmes avec violence et passion.

D'abord intrigué, il ne donne pas suite à ces textes crus, violents et sans retenue. Puis les mails se succèdent, toujours plus forts, totalement hors norme. Intrigué, il les imprime et les réunit dans une chemise où les textes s'accumulent et dessinent une pathologie de l'excès à laquelle il n'est pas insensible.

La femme qui lui adresse ces textes que la morale réprouve est jeune et ne ressemble pas - si tant est que l'on puisse ressembler - à ses textes.

Ces "Cris du corps" se sont imposés à Franck Spengler comme une grande littérature de l'extrême, de celles qui doivent être publiées pour attester que la "folie" amoureuse existe et peut être belle, même dans l'excès.